METROPOLITAN – un film de Whit Stillman – Sortie le 02 Juillet 2014
SYNOPSIS
Manhattan, il n’y a pas si longtemps, à Noël…
Tom Townsend, un gauchiste des bas quartiers de New-York, s’introduit dans le cercle restreint de « la bande de Sally Fowler » (cinq filles et deux garçons) – des jeunes gens strictly Park Avenue, mais en manque cruel de chevaliers servants pour
accompagner les débutantes aux bals du Plaza.
Bourgeois et cultivés, ceux-ci se réunissent lors d’after-parties pour tromper l’ennui, parler politique ou de Jane Austen, deviser sur leurs histoires d’amour ou sur l’inévitable déclin de leur classe.
Ou encore de l’avantage du col de chemise amovible.
Bienvenue dans la « Urban Haute Bourgeoisie ».
EQUIPE
Avec :
Carolyn FARINA, Edward CLEMENTS, Christopher EIGEMAN, Taylor NICHOLS, Allison PARISI, Dylan HUNDLEY, Isabel GILLIES, Bryan LEDER, Will KEMPE, Elisabeth THOMPSON, Stephen UYS, John LYNCH, Donal LARDNER WARD
Réalisateur : Whit STILLMAN
Scénario : Whit STILLMAN
Production : Brian GREENBAUM, Whit STILLMAN, Peter WENTWORTH
Image : John THOMAS
Son : Alexander SHCHEPOTIN
Montage : Christopher TELLEFSEN
Musique : Tom JUDSON, Mark SUOZZO
FESTIVALS
- Festival de Cannes 1990 – Quinzaine des Réalisateurs
– Sundance Film Festival 1990
– Festival du cinéma américain de Deauville 1990
– Festival de Locarno – Léopard d’Argent
Revue de presse :
Whit Stillman réhabilite le cinéma de dialogue. Sous sa légèreté, ce film est aussi important que
Le Genou de Claire et Les Nuits de la Pleine Lune.
Whit Stillman prouve que le talent peut rendre le superflu indispensable.
TELERAMA
Une comédie drôle et sarcastique
LE JOURNAL DU DIMANCHE
Un film d’ethnologue et de moraliste qui dresse le tableau d’un monde que l’on croyait disparu tant il est discret : la haute bourgeoisie traditionnelle new-yorkaise où l’on ne travaille pas, où l’on ne fait pas de sport, où l’on ne se bat pas pour « arriver ».
LE FIGARO
Délicieusement suranné.
LE POINT
Metropolitan n’a pas peur d’être un film littéraire : on y fait allusion à Jane Austen et à Fourier, et la véritable passion des protagonistes est de se raconter.
LES CAHIERS DU CINEMA
Un formidable humour pince-sans-rire
LES ECHOS
Le grand mérite de cette comédie sarcastique, de ce marivaudage brillant et bavard est d’assumer ses partis pris
STUDIO